SYLVAIN CANET . LE BLOG.

Quand les brigades mobiles de Hortefeux entrent à l'école, nous disons non !

La pétition sur l'affaire Jean Sarkozy et l'EPAD avait saturé le site web.

Il est temps de relancer maintenant cette action.

La pétition est en ligne.  On signe là : http://www.mesopinions.com/Plan-Hortefeux-Chatel---Non---La-logique-securitaire-n-a-pas-sa-place-a-l-ecole---petition-petitions-b45b6445b20fab9e44f8275ccfc16cef.html

Le texte :

Non, la logique sécuritaire n'a pas sa place à l'école !

Un établissement scolaire n'est pas un bunker !

Après la cagnotte à 10 000 € pour récompenser l’assiduité des élèves, c’est maintenant le thème de la sécurité qui devient prétexte à une mesure choc.

le  "Plan de sécurisation des établissements et de suivi de la délinquance" lancé par Brice Hortefeux et Luc Chatel égratigne encore un peu plus le contrat social et républicain qui nous lie à l'école.

 

En instaurant des brigades d’intervention dites « Equipes Mobiles de Sécurité » ou en envisageant le développement de la vidéosurveillance au coeur des établissements scolaires, c’est une vision sécuritaire de l’école qui domine.

Nous dénonçons cette nouvelle dérive. Ces mesures désaxent le propos de l’éducation nationale et de ses établissements.

La violence et la délinquance, prétextes malsains aux mesures gouvernementales, doivent être exclues de l’enceinte scolaire; oui. Mais la solution présentée porte en elle une autre violence, plus larvée : uniforme kaki, talkies-walkies, interventions groupées, externes à l’équipe éducative, ce type de démonstrations valorise une agressivité institutionnalisée.

Ce n’est pas la bonne façon de parler aux jeunes. Ce n’est pas le bon niveau de réponse.

Europe : aujourd'hui, on a tous 20 ans !

Je n'ai rien de plus intelligent, ni de plus intéressant à dire que tout ce qui a été dit pour cette célébration officielle. Mais vous donner à revoir ce petit bijou d'émotion simple et célébrer la chute du mur en musique et en image me semble une façon sympathique de parler à chacun de nous de ce qui fit vibrer les Européens le 9 novembre 1989.

1989-2009 : En Europe, on a tous 20 ans !!

Elections régionales : "Sylvain Canet se positionne" (Le Parisien)

Boulogne-Billancourt, 92 : deuxième ville d'Île-de-France après Paris...

Le Parisien suit l'actualité de notre département au plus près des blogs politiques.

Après Christophe Grébert hier, il relayait ce matin ma déclaration de candidature publiée la veille ici-même. (note précédente)

Beaucoup de "buzz" en effet sur l'idée que j'y développe : Quelque chose s'est passée ces derniers jours en France, précisément dans les Hauts-de-Seine, en Île de France (Relisez ma déclaration de candidature). Un réveil, un sursaut démocrate, redonne des couleurs à une certaine idée de la démocratie et de la représentation de l'opinion.

Les Démocrates sont bien vivants.

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Régionales : "Il s'est passé quelque chose en (Île de)France"

Je me suis déclaré, auprès du mon mouvement, candidat à la candidature pour les régionales 2010, en Ile-de-France.

Quand je me suis engagé auprès de François Bayrou en 2007, quand j'ai participé à la création du Mouvement Démocrate, c'est à une refondation politique, à une nouvelle façon de s'investir pour le bien commun que je me suis attelé ; c'est à une rénovation que j'adhérais.

 

Impliqués dans la vie civile et citoyenne, engagés de différentes façons à "changer le monde" et décidés à le rendre plus démocrate, plus social et plus durable, nous sommes de nombreux citoyens à poursuivre ce chemin essentiel qui nous anime.

Il est bon que la politique ne soit pas réservée aux professionnels de la politique. C'est un objectif démocratique. C'est pourquoi je fais ce choix.

 

Nous sommes aussi nombreux à vouloir sans toujours pouvoir.

Combien, en effet, ont perdu espoir ? Combien n'y croient plus parfois ?

Mais combien de français, combien de franciliens souffrent d'une société de plus en plus injuste ?

La voie tracée par le MoDem n'est pas facile. Elle est rendue d'autant plus compliquée que la vie politique n'est pas un long fleuve tranquille. Mais pour chacun de nous, la vie elle-même l'est-elle ?

 

Se battre pour une société, une région, plus juste et plus humaine, est un engagement. Il s'agit de combattre un système politique qui laisse aux plus forts toutes les chances et aux plus démunis les restes d'une société en crise.

Nous savons, nous, dans les Hauts-de-Seine, la façon dont ce système a été verrouillé, réservant à un clan les décisions, les choix et les "bidouilles" ; se satisfaisant finalement de la loi du plus fort. Cette conscience là nous invite à éviter qu'une région ne sombre dans les mêmes dérives.

Si le sarkozysme est un système, le sarkozysme est aussi une politique qui oppresse, renie nos valeurs républicaines, moque le vivre ensemble, coûte chère tout en ne résolvant rien.

 

Nous ne pouvons nous résoudre à ça.

Or, il s'est passé quelque chose le mois dernier :

Droit d'auteur, buzz et libertés: "Cette vidéo (de Sarkozy) n'est plus disponible..."

Je lançais hier une note participant au buzz sur le discours copié-collé du Président aux agriculteurs que "Le Petit Journal" a su fort malicieusement mettre en valeur.

Cette vidéo a été supprimée du web.

Même destin tragique que celles des Guignols sur Jean Sarkozy. Une note le dénonçait sur le post.fr : l'épisode "Jean et l'EPAD" n'a pas plu en haut de l'Etat. Les Guignols de l'Info et Canal + seraient très mal vus au point que la pression monte sur les dirigeants de la chaîne cryptée.

Je vous engage à ressentir comme moi l'effet que cela fait de lancer une vidéo sur Daily Motion et de voir apparaître à la place un écran noir et un message non moins explicite (ma note précédente "Nicolas ne vous prend paspas pour des poipoires", avec la vidéo supprimée du net) 

La réaction de Canal + est-elle un signe ? Est-ce une façon de montrer patte blanche et de calmer le pouvoir ? La réponse n'est, en tout cas, pas anodine.

Cette méthode est la même que celle pratiquée à propos des vidéos des Guignols de l'info sur Jean Sarkozy (disparues aussi). Une succession d'interventions sur lesquelles il convient de s'interroger... Excès de zèle de la direction de Canal ? Pressions ? Quand les droits d'auteur sont prétextes à un retrait, cela pose t-il une question sur la liberté d'expression ? Vous avez dit bizarre ?...

Nicolas Sarkozy nene vous prend paspas du tout pour des poipoires !

Nicolas Sarkozy en copié-collé, en collé surtout ! La solution à la crise de l'agriculture : 2 discours pour le prix d'un !

Dans le 92 on connait aussi le drame des OGM : les clones sont partout. La reproduction en éprouvette de parfaits sarkozystes est un phénomène local sur lequel je vous promets de revenir. Mais voila que maintenant cela devient un sport national : les textes et les discours se reproduisent, se doublent et se dédoublent à qui mieumieux.

Après le copié-collé raté de La Défense où un Jean a failli se faire passer pour un Nicolas (à moins que ce ne soit le contraire, je m'y perds), voici la preuve par 4, ou plutôt par 2, de la façon dont un Président nous prend pour des gogos. Effet garanti, ridicule assuré. Ne loupez pas ça :

Merci à Pierre Guillery, chez qui j'ai découvert cette perle.

Boulogne-Billancourt : les agents municipaux en grève et mobilisés

Ce jeudi fut une journée particulière pour mon établissement scolaire et pour beaucoup d'autres.

Pas d'agents, pas de gardienne ; après avoir évité de justesse une grève et la fermeture totale des centres de loisirs de la ville mercredi, nous avons dû, ce matin, faire sans aide en classe ni sur l'école.

Une fois réglée l'ouverture de l'école et des classes, c'est la cantine qui risqua d'être annulée (vous imaginez le problème pour les familles) jusqu'à ce que j'apprenne à 8h35 (1/4 d'heure après l'ouverture des portes) qu'un repas froid serait finalement servi. Les enseignants ont assumé l'ensemble des tâches pédagogiques habituelles, et parfois un peu plus. Mais ce soir l'école ne sera pas nettoyée.

Malgré la gêne, l'équipe enseignante et moi même comprenons nos collègues. Peu reconnues, mal payées (1400€ après 30ans d'ancienneté, par exemple), et devant se passer d'une prime de 97€ qui leur est due, elles finissent par devoir aller jusqu'à ces extrémités pour être comprises.

Mais, au delà, le mouvement de grève des agents de la Mairie touche la ville de Boulogne-Billancourt dans son ensemble puisque ce sont tous les agents qui sont concernés.

Ils en ont assez et le font savoir. Agents d'entretien, atsem, gardiens, services d'entretien, de propreté, d'animation, de sécurité, cadres des différentes directions, etc, c'est l'ensemble du service public municipal qui gronde.

Que se passe t-il ?

Madame, Monsieur le Conseiller général des Hauts-de-Seine...

A l'initiative de mes amis MoDem du Groupe La Défense, trouvez ci-dessous, le mail que jai décidé d'envoyer à Thierry Solère, Marie-Laure Godin et Marie-France de Rose. Chaque citoyen peut faire la même chose (Copiez-collez + adresses mail jointes en fin de note).

En tant que Co-président de la section MoDem de Boulogne-Billancourt, je souhaite que notre présidence collégiale de Boulogne-Billancourt (5 élus) rédige aussi cette demande. Je leur propose que nous statuions sur cette démarche.

En tant que Conseiller Départemental du 92, je souhaite qu'il en soit de même de notre mouvement départemental du 92. Il serait en effet bienvenu après plusieurs jours d'une émotion légitime (qui dépasse les clivages politiques d'ailleurs) que le Président du Mouvement, Antoine Dupin, s'exprime sur cette affaire et dénonce les manoeuvres du système mis en place dans le 92, le départ arrangé d'Hervé Marseille, le projet de Jean Sarkozy et consorts.

1-Le texte :

(Madame, Monsieur) le Conseiller général des Hauts-de-Seine,
Vous avez accepté, au sein du groupe de la « Majorité Départementale » des Hauts-de-Seine, l’élection de Jean Sarkozy comme administrateur de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (EPAD), afin qu’il en sollicite la présidence.
Je tiens à vous faire part de mon désaccord sur cette élection.
Présider un tel Etablissement demande expérience et compétence. Malgré les qualités personnelles de Jean Sarkozy, son jeune âge et son absence d'expérience professionnelle ne font pas de lui un candidat sérieux pour prétendre assurer le développement du territoire de la Défense et le représenter auprès des investisseurs internationaux.
D'autre part, à l’heure où tant de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi, une telle élection me semble être une grave atteinte à nos valeurs républicaines.
Je vous demande donc instamment de renoncer à élire Jean Sarkozy à ce poste d'administrateur.
Dans l’espoir d’avoir été entendu, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame, Monsieur le Conseiller général, mes salutations respectueuses.

Stade Jean Bouin: sport scolaire, sport amateur ou sport business ?

Le collectif Jean Bouin nous invite le 18 octobre à 11h30. Le "match" qui se joue dimanche au stade Jean Bouin sera gratuit, familial, ... et citoyen d'abord.

Tout un symbôle que cette affaire Jean Bouin : La société dont on pourrait rêver pour nos enfants n'est pas vraiment celle qu'on nous impose à Jean Bouin : Sport-business plutôt que sport scolaire et associatif - Surfaces commerciales plutôt que salles et stade omnisport - Décision unilatérale plutôt que démocratie locale, ...  On aurait pu reconstruire un grand stade ensemble et pour tous, penser au rugby et aussi au sport amateur, mieux échanger et partager... On fait tout pour braquer les gens et avancer de travers. Grand gachis plutôt que Grand-Paris !

Mais que se passe t-il donc en Île-de-France ? L'abus de pouvoir deviendrait-il la rêgle ?

Du népotisme d'un "hyper Président" à La Défense jusqu'à l'hégémonisme d'un "hyper Maire" à Jean Bouin, dénonçons ces façons qui vont à l'encontre d'une bonne gouvernance. Il est temps de replacer la concertation et la collaboration entre communes limitrophes au coeur de la décision publique. Tout comme le bon sens des habitants parisiens et boulonnais devrait être pris en compte.

Regardez plutôt comment des sportifs et des citoyens se sont pris au jeu de leur combat : sympa et efficace.

Ce que j'aime dans les engagements citoyens d'aujourd'hui, c'est qu'ils sont débridés, frais, inventifs, sincères. Avec ses imperfections, j'aime cette vidéo. Il y a de la modernité dans ces prises de position que permet internet.

Jean Sarkozy : Moi, mon papa c'est (pas toujours) le plus fort !

La une de Libé fait plaisir.

Bravo Christophe d'avoir lancé cette pétition.

J'ai tout de suite signé dés que Christophe Grébert, élu MoDem de Puteaux, l'a mise en ligne.

Je suis ravi d'avoir modestement participé dés son origine à dénoncer cette énorme dérive de l'hyper-président. (Pas mécontent de la photo que je choisissais pour illustrer mon propos, d'ailleurs)

Nous en étions à 40 000 signatures avant que le site ne plante ! Non le népotisme ne passera pas.

Relisez "Abus de pouvoir", le dernier livre d'un certain François Bayrou dont l'analyse se confirme.

(Dommage colatéral : la pétition que je lançais hier contre le plan Hortefeux-Chatel est (dé)bloquée ; le site n'a techniquement pu suivre cet emballement. On ne leur en veut pas d'ailleurs, c'est un site gratuit et bénévole, dédié à l'engagement citoyen; bon courage à eux... Finalement c'est encore un Sarkozy qui nous plante !! LOL.  Décidement cette famille a tous les pouvoirs...! Mais non voyons, c'est nous qui avons le pouvoir : celui de se mobiliser !)

Encore bravo Christophe et ses 38 000 activistes oranges, verts, roses, ...et même bleus, blancs, rouges !

Signez la Pétition : Plan Hortefeux-Chatel, Non, la logique sécuritaire n'a pas sa place à l'école !

La pétition est en ligne.  On signe là : http://www.mesopinions.com/Plan-Hortefeux-Chatel---Non---La-logique-securitaire-n-a-pas-sa-place-a-l-ecole---petition-petitions-b45b6445b20fab9e44f8275ccfc16cef.html

Le texte :

Non, la logique sécuritaire n'a pas sa place à l'école !

Un établissement scolaire n'est pas un bunker !

Après la cagnotte à 10 000 € pour récompenser l’assiduité des élèves, c’est maintenant le thème de la sécurité qui devient prétexte à une mesure choc.

le  "Plan de sécurisation des établissements et de suivi de la délinquance" lancé par Brice Hortefeux et Luc Chatel égratigne encore un peu plus le contrat social et républicain qui nous lie à l'école.

En instaurant des brigades d’intervention dites « Equipes Mobiles de Sécurité » ou en envisageant le développement de la vidéosurveillance au coeur des établissements scolaires, c’est une vision sécuritaire de l’école qui domine.

Nous dénonçons cette nouvelle dérive. Ces mesures désaxent le propos de l’éducation nationale et de ses établissements.

La violence et la délinquance, prétextes malsains aux mesures gouvernementales, doivent être exclues de l’enceinte scolaire; oui. Mais la solution présentée porte en elle une autre violence, plus larvée : uniforme kaki, talkies-walkies, interventions groupées, externes à l’équipe éducative, ce type de démonstrations valorise une agressivité institutionnalisée.

Ce n’est pas la bonne façon de parler aux jeunes. Ce n’est pas le bon niveau de réponse.

Quand Thierry Solère assure "La Défense" de Jean Sarkozy : la sarko-bidouille au grand jour.

Envoyez un mail à T.Solère !

L''affaire fait grand bruit. Et pour cause !

Thierry Solère, 1^eradjoint de Boulogne-Billancourt, Conseiller Général 92,etc, monte au créneau pour défendre le fils. Et être bien vu du père ? 

Relisez Le Prince de Machiavel...

Il y a un réel décalage avec le bon sens des alto-séquanais. (Voir ci-dessous)

Après le système Pasqua,  nous avions connu Sarkoland. Nous sommes passés au Sarko-system, pire à la Sarko-bidouille !

La reprise en main de la Défense est en marche. Cette fois c'est la famille qui règle par le népotisme les histoires de famille de l'Ump. Patrick Devedjian, président du Conseil Général en ferra les frais en temps venu ; Les Balkany, Sarkozy et consorts règlent leurs comptes et préparent le trône.

Les amis et les courtisans sont à la manoeuvre.

L'EPAD, l'Epasa et bientôt l'EPADSA pour alimenter, entre autres, les caisses du département, des communes, des intercommunalités… Et tenir les élus ? L'argent du 92 a la couleur bleue des dynasties royales et déjà une drôle d'odeur.

La politique comme ça, c'est pas du joli.

Voici un florilège des réactions écrites sur le site de la pétition demandant à Jean Sarkozy de renoncer à l'Epad de la Défense

Le bon sens des français face aux petits arrangements entre amis ; les décideurs du 92 dérapent et ça ne plait pas.

A lire :

Comment se fait-il qu'un jeune de 23 ans sans trop de diplômes arrive à cette fonction et que mon neveu avec un bac +7 en école de commerce avec deux années de prépa est toujours à 27 Ans au chômage avec seulement quelques missions d'intérim. Je suis sur que Nicolas va trouver une place pour mon neveu!!!!!!

Jacques

J'ai vraiment l'impression que nous sommes revenus au temps de la royauté.
Comment peux t on parler de justice social, quand on offre ce genre de poste à un gamin de 23 ans ???

Raphaël

Plan Chatel-Hortefeux : Non, un établissement scolaire n'est pas un bunker !

 La pétition est en ligne.  On signe là : http://www.mesopinions.com/Plan-Hortefeux-Chatel---Non---La-logique-securitaire-n-a-pas-sa-place-a-l-ecole---petition-petitions-b45b6445b20fab9e44f8275ccfc16cef.html

 

Avec le soutien de Corinne Lepage, Vice présidente du MoDem, et en tant que responsable de la Commission Nationale Education du Mouvement Démocrate je souhaite vous faire part de notre réaction officielle sur le "Plan de sécurisation des établissements et de suivi de la délinquance" lancé par Luc Chatel et Brice Hortefeux le 23 septembre dernier.

La mise en place le 5 octobre de brigades d'intervention dites "Equipes mobiles de sécurité" ou le projet d'installer la vidéosurveillance au cœur des établissements m'apparaissent comme des dérives graves de la mission de l''école. Sous prétexte de lutter contre la violence scolaire on développe une approche sécuritaire plutôt que préventive qui produira vite ses effets pervers…
Le projet de société que ces décisions sous-tendent égratigne encore un peu plus notre contrat social et républicain.

Je vous soumets le texte du communiqué que nous avons souhaité diffuser à la presse au plus vite :

Non, un établissement scolaire n'est pas un bunker !

La logique sécuritaire n'a pas sa place à l'école !

 

Après la cagnotte à 10 000 € pour récompenser l’assiduité des élèves, c’est maintenant le thème de la sécurité qui devient prétexte à une mesure choc.

le  "Plan de sécurisation des établissements et de suivi de la délinquance" lancé par Brice Hortefeux et Luc Chatel égratigne encore un peu plus le contrat social et républicain qui nous lie à l'école.

En instaurant des brigades d’intervention dites « Equipes Mobiles de Sécurité » ou en envisageant le développement de la vidéosurveillance, c’est une vision sécuritaire de l’école qui domine.

Le Mouvement Démocrate dénonce la nouvelle dérive qu’on inflige aux valeurs de l’école de la république.

Le problème de la violence à l’école ne se résoudra pas en ajoutant des vigiles.

La violence et la délinquance, prétextes malsains aux mesures gouvernementales, doivent être exclues de l’enceinte scolaire. Mais la solution présentée porte en elle une autre violence, plus larvée : uniforme kaki, interventions groupées externe à l’équipe éducative, ce type de démonstration valorise une agressivité institutionnalisée qui ne saurait résoudre les problèmes. Ce n’est pas la bonne façon de parler aux jeunes. Ce n’est pas le bon niveau de réponse.

L'école, l'argent, François Bayrou ...et les carottes

La Commission Nationale Education du Mouvement démocrate que j'ai l'honneur d'animer et les militants du MoDem sont en phase avec François Bayrou. Le Président du Mouvement Démocrate et ancien ministre de l’Education s’insurge dans le JDD contre l’expérience d’une cagnotte anti-absentéisme voulue par le gouvernement. Pauvre et affligeante carotte, en effet !

Cette prise de position publique du Président du Mouvement Démocrate valorise notre combat pour une autre école. La commission nationale éducation du MoDem dénonce avec la même force ces dérives et s'inquiète de ce contrat social et républicain qu'on égratigne tous les jours un peu plus.

Les dernières mesures du plan de "sécurisation des établissements et suivi de la délinquance" avec la mise en place de brigades d'intervention dites "équipes mobiles de sécurité" ou de système de vidéosurveillance relèvent d'une logique sécuritaire. Notre réaction vous sera bientôt communiquée.

Donner de l’argent pour que les élèves aillent en classe, c’est une solution?
C’est une histoire de dingue. Une dérive inacceptable, un incroyable déplacement des valeurs de nature à troubler encore un peu plus les repères des enfants. A l’école, l’argent ne devrait pas avoir droit de cité. L’école pour les familles est le ieu où ce qui compte n’est pas l’argent mais le savoir, le respect
et l’autorité. Au fond, on en arrive à considérer que l’assiduité à l’école n’est pas une chance offerte à l’enfant, mais une attitude à récompenser. On ne peut pas fausser l’esprit des élèves à ce point. Dès l’instant où un tel principe est accepté, on peut craindre qu’il ne soit généralisé. Les enfants diront: "je ne viens pas parce que tu ne me donnes pas de thune!"

Mais en Angleterre, où, depuis 2008, des adolescents de 16 à 18 ans sont payés entre 11 et 33 euros par semaine pour aller en cours, ce type de mesures semble marcher…
C’est exactement la société dont je ne veux pas. Là-bas, l’école est payante et très chère. L’idée qu’il faudrait entrer dans un système de "marchandisation" de l’école est mauvaise. Payer pour aller à l’école ou se faire payer pour aller à l’école, c’est la même chose. Il faut se battre pour arracher l’école au monde de l’argent.

Votation citoyenne pour La Poste : le fonctionnaire ou l'actionnaire ?

"Bougeons avec La Poste !" Jamais slogan n'aura plus de sens qu'aujourd'hui.

On ne peut laisser faire ces attaques permanentes contre un service public auquel nous sommes attachés.

Cette poste à coté de chez nous est la nôtre. Au même titre que l'école ou l'hôpital, c'est là que la France se retrouve, communique, échange et crée du lien social.

Beaucoup a été dit sur ce projet fou qui veut transformer la nature même d'un service public qui "rend des services au public" (rappelons-le) au coeur de notre pays, partout. (Retrouvez-ici le communiqué de presse du MoDem 92, par exemple).

J'aimerais plutôt revenir sur ce que je ressens à chaque fois que je rentre dans une poste.

A l'arrivée, une file d'attente vous rappelle que nous sommes nombreux à nous y rendre et à en attendre beaucoup. Franchement pas si impressionnante, comparée à celle du cinéma ou du supermarché, mais elle suffit pour que se déclenchent des réactions agressives de mes concitoyens : ça râle, ça trépigne, ça maugrée en prenant à témoin son voisin sur "ces fonctionnaires qui décidément...". Une sorte de jeu de rôle incontrôlable, un atavisme qui ressurgit et provoque une poussée d'urticaire contre le service public ; ça s'engage mal et c'est irrépressible, semble t-il : ce service public est fautif quoi qu'il en soit de son efficacité pourtant évidente.

Cette scène est plus souvent connue en milieu urbain. En vacances, en milieu rural ou estival, comme par enchantement, vous allez mieux ; tout va mieux.

Mais pourquoi ce ne sont pas les mêmes exaspérations qui nous assaillent dans cette même queue du cinéma ou du supermarché ? Et si tout cela n'était qu'une question d'angle de vue ?

Brigitte Bardot à Boulogne-Billancourt : tout comprendre en 1 photo et 5mn de bonheur

A l'occasion de l'expo BB à BB.

Que représente Bardot pour les générations d'aujourd'hui ? Pas toujours que des bonnes choses, il faut bien l'avouer : Un combat pour les animaux, soit, mais quelques égarements politiques qui égratignent la légende.

Faisons un petit retour sur le phénomène BB. Je vous propose de comprendre ce qui s'est pourtant passé en 1 photo qui dit tout (Henri Cartier-Bresson, eh oui, je ne me moque pas de vous, le maître du document photo !) : une image où tout est là (2 mondes, 2 générations, 2 coiffures, le Figaro, la mini jupe Courrèges...) ; elle rappelle ce qu'étaient les années 60 quand la bombe Bardot éclata. Elle dérangeait l'ordre établi.

 + 1 scène culte, 1 son magique, 1 musique à vous donner le frisson. Parenthèse de bonheur.

Moteur !

Le mépris: Scène Culte (Godart/Bardot) par pitchbrioche

Le centre culturel et cultuel musulman, le citoyen, le hangar et la ville

Le Parisien sous la plume de Jérome Bernatas met en lumière la question du financement pour qu'un centre culturel et cultuel musulman digne de ce nom voit le jour à Boulogne-Billancourt.

En me citant, l'article permet de rappeler à notre mémoire des faits têtus (Pendant combien d'années en effet cette communauté a dû prier dans les sous-sol humides d'un parking ?!) et le cynisme du moment qui veut que le réaménagement des terrains Renault motive l'intérêt porté à cette question (la destruction d'un hangar faisant office de mosquée provisoire pour laisser place aux promoteurs et constructeurs). Mais, pour aller plus loin, je soumets à votre réflexion quelques points de vue.

Je pense qu'il faut aller chercher des solutions au coeur de nos enjeux locaux et nationaux et selon des principes novateurs aptes à porter le "vivre ensemble" cher à notre république tout en respectant la laïcité. (Le sujet "financement de l'étranger" n'est, semble t-il, pas d'actualité ; il est bon que l'angle de vue choisit pour l'entrée de cet article soit désamorcé avec sagesse par Mr Mabrouk)

Chaque communauté travaille à son projet et l'on sait déjà que les autres religions sont en bonne voie.

Nous avons à Boulogne-Billancourt une communauté musulmane traditionnelle, sereine, discrète et digne qui, sous après sous, pas à pas, quête son budget auprès de ses fidèles. Mais jusqu'à 4,5 Millions d'€ le chemin est encore long. (le budget a été réduit en supprimant quelques espaces) Chacun peut comprendre les raisons sociologiques et humaines qui font qu'une communauté religieuse doit comme tout autre religion et dans le respect de nos principes républicains et laïques pouvoir être "accompagnée" dans son projet. Nous pouvons tous, élus, citoyens et, pourquoi pas, avec les autres communautés religieuses, jouer un rôle pour accompagner nos amis.

Saisissons le moment en positivant une démarche :

Il y a des moments historiques à saisir. Quand ailleurs dans le monde les sectarismes font fureur, ce pourrait être fondateur d'espoir de favoriser un dialogue interculturel au coeur de notre ville. Pourquoi ne pas imaginer une dynamique commune élus/citoyens/communautés réunis pour accompagner cette construction et ainsi créer un élan de solidarité essentiel au vivre ensemble.

La défenseure des enfants dégommée en Conseil des ministres !

C'est une institution indépendante et importante : http://www.defenseurdesenfants.fr/

Et bien le Conseil des ministre a purement et simplement décidé de dissoudre cette mission pourtant essentielle en la diluant au sein d'une nouvelle institution moins lisible.

Dominique Versini l'a appris comme vous et moi, en lisant sur internet la mesure projetée lors du conseil du 9 septembre : création du défenseur des droits et disparition de l'incarnation que représentait la défenseure.

J'avais en son temps invité la prédécesseur(e) de Dominique Versini lors d'un colloque Unicef, Claire Brisset. Chaque année le rapport et les prises de parole de cette représentante permettait d'attirer l'attention sur un problème propre à l'enfance : maltraitance, pauvreté, cantines scolaires, accueil des jeunes handicapés, etc...

Les générations futures ont trop peu l'occasion d'être entendues de façon propre, singulière, spécifique.

Mme Versini "Défense des enfants" virée selon la méthode "France Télecom"

UMP pour IdF : Valérie Pécresse lance sa campagne (badaboum !)

No comment ! ... Mais attention elle se ratrappera.

Face à la machine UMP, il nous faudra être forts, modernes avec une lisibilité MoDem claire ...

En attendant, reconnaissons que cet angle de vue proposé par Canal est assez drôle :

Rassemblement UMP pour l'IDF : le discours incompréhensible de V. Pécresse

Le lien : http://tv.lepost.fr/2009/09/15/1697487_rassemblement-ump-pour-l-idf-le-discours-incomprehensible-de-v-pecresse.html

Allumons les Lumières du 21ème siècle !

Beaucoup de demandes et de retours suite aux 2 évènements qui m'occupaient ce WE.

Notre présence aux cotés de François Bayrou, Marielle de Sarnez,Corinne Lepage et Jean-Luc Bennahmias à la Grande Motte fut aussi pour moi l'occasion de rencontres fructueuses dans le cadre de la Commission nationale éducation que j'ai l'honneur d'animer.

Quand nous parlions des savoirs, savoir-faire et savoir-être du 21ème siècle, en cette rentrée scolaire animée, je ne pouvais m'empécher de penser à l'autre évènement "boulonno-boulonnais" qui, au même moment,  se déroulait ce dimanche : le forum des activités et associations. Notre Comité Cité des Savoirs du 21ème siècle pour l'île Seguin que je préside et fait vivre avec quelques amis et citoyens impliqués était présent avec une affiche (voir note précédente) plutôt choc qui a suscité de nombreuses questions et de nombreux mails découverts à mon retour.

Voici un article de presse paru en juillet 2009 qui éclairera tous ceux qui veulent en savoir plus et désirent participer à cette initiative citoyenne pour l'île Seguin.

L'île Seguin ne sera t-elle pas la Cité des savoirs du 21éme siècle ?

(Dernière parution sur Seguin note du 4 juillet 2010)

Le Forum des associations se tiendra dimanche à Boulogne-Billancourt.

Comme chaque année, la Cité des Savoirs du 21ème siècle que j'ai l'honneur de présider y sera présente. L'île Seguin doit faire vivre de grands projets et celui-ci porte l'ambition des boulonnais et de leurs enfants : un monde meilleur demain, les générations futures mieux formées, plus éclairées pour s'y mouvoir ; mieux armées aussi pour le modeler à la mesure d'une humanité qui leur appartient et qu'ils veulent préserver.

Le Comité Cité des Savoirs du 21ème siècle a décidé de taper fort avec un stand qui va marquer : Une affiche de 2m par 1m (ci-contre) pour interpeller les boulonnais. Il est temps que les citoyens et la société civile se rappellent à la mémoire de l'ïle Seguin et de ses décideurs...

Qu'un Maire-adjoint chargé des dits "grands projets" reste sourd et muet à 2 courriers et plusieurs rappels pour une initiative citoyenne que les boulonnais, toutes tendances confondues, espèrent, cela finit par être du "foutage de gueule".

Nous avons décidé d'interpeller nos meilleurs soutiens, les boulonnais.

Je souhaite que Jean Nouvel "allume les Lumières du 21ème siècle" à Boulogne-Billancourt et illumine toute l'Île de France !

La Cité des Savoirs du 21ème siècle s'affiche présente pour une démarche constructive et novatrice. Consultez notre site : http://www.cite-des-savoirs.info/

Marielle de Sarnez à Marseille : évidemment !

Marielle de Sarnez - Ateliers d'été EAG

Marielle de Sarnez lance la rentrée politique du MoDem. Peu à peu nous clarifions nos orientations et nourrissons, par des prises de positions claires, un Mouvement Démocrate qui affirme sa présence, son contenu et son discours.

L'intervention de Marielle de Sarnez à Marseille fait partie de ces balises qui éclairent la route.Aussi, n'ai-je aucun problème, bien au contraire, avec cet appel marseillais.

Certains se méprennent encore parfois sur nos positions au point d'être gênés par l'idée d'un rassemblement teinté. Et pourtant : nous ne sommes pas "centristes", nous sommes d'abord "dé-mo-cra-tes". Pourtant déjà en 2007, François Bayrou avait tracé la voie dans un article fondateur : "Du centre au projet démocrate". Pourtant, depuis 2007, nous sommes nombreux à répéter inlassablement cet axe nouveau que le MoDem entend incarner : Démocrates et humanistes !

C'est bien la même ligne et la même logique qui nous permet d'être ce que nous sommes quand nous affirmons souhaiter un rassemblement démocrate, social, républicain et écologiste. Certains journalistes se sont plus à lire une évolution alors que la continuité est évidente dans notre opposition au sarkozysme, entre autre.

Mais à gauche, c'est vrai le scepticisme dominait. "T'es au Modem, alors t'es de droite". L'intolérance et

Île Seguin : Jean Nouvel fait monter le niveau de la Seine !

(Actualisation : Dernière note publiée le 8 juillet 2010 "Île Seguin : Musique, bastringue ou tintamarre ?" et notes précédentes)

Aussi libre qu'un démocrate qui ne se gène pas sur ces pages pour dire ses désaccords avec la majorité municipale ou avec l'opposition ou faire remarquer quelques pistes d'actions possibles, c'est avec le même engagement que je tiens à dire le bien que je pense du choix qui vient d'être fait de confier à Jean Nouvel la coordination des orientations pour l'île Seguin.

Jean Nouvel n'est pas une personnalité passe-partout ; il peut et sait parfois soulever la polémique, c'est pourquoi s'engager à ses cotés comporte toujours un risque, en premier lieu la critique ou les racourcis faciles.

J'approuve pourtant, et pour plusieurs raisons :

- à commencer par la façon dont nous allons ainsi pouvoir donner l'impulsion forte et nécessaire en "élevant le niveau" du projet culturel, urbain et architectural de ce chantier majeur. Si mal parti et victime de tant de remises en cause et de retournements, il est temps que de ce tas de sable se dégage un projet et une perspective à la hauteur d'une grande ville, pôle majeur de l'ouest parisien, de l'île de France, région "capitale". Donnons à Boulogne-Billancourt le rayonnement qu'elle mérite.

- C'est un bon choix parce qu'il fallait un architecte de renommée internationale. Rem Koolhaas ou Winy Maas auraient aussi pu faire l'affaire mais il faut reconnaître à Jean Nouvel une double qualité : il a un charisme international ...et national. Cela aura un bon impact régional et à l'echelle de la nation.

- Mais, c'est aussi sur le fond du projet que j'attire l'attention : Il faut regarder l'oeuvre de Jean Nouvel pour aussi comprendre qu'il est plus encore un architecte du contenu que du contenant. Son style varie et s'adapte en fonction non seulement du contexte mais aussi en vue d'un projet de vie et dune "ambition du dedans" plus encore que de son enveloppe.  En tant que Président du projet Cité des Savoirs du 21ème siècle pour l'ïle Seguin qui inspira toutes les équipes lors des dernières élections municipales, je crois qu'il faut souligner l'importance non du bâti mais plus encore de ce à quoi il sert, de ce qu'il peut créer de vie et d'animation (culturelle, loisir, éducation, ...) pour ceux qui le "parcourent", "l'utilisent", "l'usent".

François Bayrou : la bonne mesure

Plus que des bonnes mesures (qu'il nous reste à mettre en oeuvre), je préfère parler de la juste mesure de François Bayrou. Il est à la manoeuvre, à l'ouvrage, exposé, et tout autant sur la bonne distance avec la bonne réactivité**.

Je trouve intéressant de donner à lire à mes concitoyens la "lettre aux adhérents" que le Président du Mouvement Démocrate a souhaité diffuser hier soir au sortir d'une élection européenne décevante et du processus de réflexion interne que fut aussi vite organisé.

Je suis de ceux qui s'expriment, disent, font valoir un point de vue, animent, tant que faire se peut, la dynamique d'un mouvement qu'on veut justement en mouvement, moderne, fort et porteur d'une alternative. Je suis de ceux qui ont porté haut ses couleurs et espèrent encore et toujours les révéler toujours plus.

J'ai fait une analyse dés le 9 juin et lancé 10+1 propositions en vue du Conseil National.

Je suis très sensible au fait que les mots société civile, réseaux, stratégie, talents, renouveau, créativité..., aient été retenus et figurent au rendez-vous estival des démocrates

J'ai contribué ; avec d'autres. Je retrouve un peu de chacun dans les propositions validées; et beaucoup de Nous (de ce que nous sommes et avons voulu en 2007)

La parole est à François Bayrou :

LETTRE AUX ADHÉRENTS

« ALLER DE L’AVANT »

Depuis près d’un mois, vous avez été invité à participer, au sein de vos instances départementales, à la réflexion sur les leçons à tirer du résultat décevant des élections européennes, ainsi qu’aux propositions à formuler pour renforcer les fondations de notre mouvement, améliorer ce qui doit l’être et inventer les formes d’engagement politique de demain.

Le compte-rendu officiel du Conseil National du 4 juillet : relevé de décisions.

J'étais hier au siège du mouvement pour assister au Conseil National.

Il y faisait chaud, très chaud, mais, au delà de ces considérations climatologiques, l'ambiance était au dialogue et à l'écoute.

Pour savoir ce qu'il en ressort, je vous propose de télécharger le compte-rendu officiel mis en ligne par la secrétaire générale du conseil, Céline Alléaume :

Le CR officiel ici ; 9 décisions ont été adoptées.

A suivre...